dimanche 5 novembre 2017

Mokoomba

Aujourd'hui, c'est un de ces jours où j'ai l'impression de me réveiller avec un 6e sens et de me dire
"mais comment j'ai pu vivre jusqu'ici en me passant de ça?"

Une personne merveilleuse m'a apporté un vrai bonheur cette semaine, elle a offert à mon âme tourmentée une douceur, une compassion, un amour rythmé, une vraie consolation.  Au moment où j'étais découragée, un peu triste, cette personne m'a écoutée, offert un verre de vin, une cigarette, et... Mokoomba.

Laissez-moi vous les offrir à mon tour, il y a trop d'amour pour moi seule là-dedans.  Je ne sais pas pour vous, mais quand je les écoute, je ressens cet élan qui donne envie de pleurer et de danser à la fois.

Les voici, Mokoomba, du Zimbabwe:






A la 35e minute de ce spectacle, une chanson pour sa maman, décédée.  Une chanson pour les orphelins aussi.  D'une beauté qui retourne...



Seul le poisson mort se laisse porter par le courant par Eve Lavigne
Vous voulez en apprendre plus sur le Burkina Faso ou l'auteure du blog?
Vous pouvez vous procurer son roman Seul le poisson mort se laisse porter par le courant " sur www.evelavigne.com
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Bonne lecture!

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